Une drogue est une substance qui modifie notre activité mentale en agissant sur le cerveau. C’est sa principle caractéristique. Mais les drogues ont aussi des effets sur les fonctions biologiques du corps. Ensemble, ces deux types d'effets provoquent des changements de comportement. Les modifications causées par les drogues peuvent affecter l'état de la conscience, la perception, les sensations, les capacités cognitives, l'humeur et le comportement, selon le type de drogue. |
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 Somnolence |
LA CONSCIENCE Les drogues modifient Chaque type
de drogue |
 Où est-ce que je suis ? Désorientation dans l'espace |
 Quoi? Paroles confuses ou difficiles à comprendre |
 On est quel jour ? C'est le soir ou le matin ? Désorientation dans le temps |
Une CONSCIENCE DE SOI modifiée |
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| On peut... | |||
 se sentir plus fort |
 se trouver plus belle |
 se sentir prisonnier et impuissant |
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 Le toucher devient plus sensible |
Les drogues peuvent modifier |
 Les objets sont déformés |
 Les sons deviennent plus clairs ou plus forts |
 Les couleurs paraissent plus vives |
Les drogues peuvent perturber |
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 Troubles de mémoire |
 Difficulté de concentration |
 Capacité de jugement |
 L'excitation |
 L'euphorie |
 La convivialité |
 L'agitation |
Les drogues affectent |
 La déshinibition |
 L'agressivité |
 La déprime |
 Le sentiment d'oppression |
| Bonne humeur | |
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L'HUMEUR ET LE COMPORTEMENT |
| Mauvaise humeur | |
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L'humeur est la façon dont on se sent. Quand on est de bonne humeur, on a tendance à agir d'une certaine façon, et d'une autre façon quand on est de mauvaise humeur. L'humeur est donc un état d'esprit général relié à un ensemble de comportements. |
| Humeur inquiète | |
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Les drogues agissent sur notre humeur. Elles peuvent nous faire éprouver un bien-être qui se transforme tôt ou tard en mal-être ou bien nous plonger dans l'inquiétude, la paranoïa, l'agressivité. |
L'EFFET DES DROGUES : UNE HISTOIRE QUI FINIT MAL.
L'effet des drogues est comme un ascenceur qui monte et ensuite, qui redescend.
LA MONTÉE
Au début, on obtient l'effet recherché :
euphorie, détente, énergie, etc., (selon le type de drogue).
Les effets indésirables causés par la drogues sont compensés par le plaisir éprouvé.
LE PLAFONNEMENT
Plus ou moins rapidement, l'effet du début devient plus difficile à obtenir
avec la même quantité de drogue. On augmente donc la dose pour ressentir encore le même plaisir.
C'est la tolérance : le cerveau tolère ou absorbe une plus grande quantité de drogue avant de réagir.
Les effets indésirables augmentent également.
LA DESCENTE
Des doses de plus en plus plus forte déclenchent des réactions encore plus déplaisantes.
Les ennuis physiques, psychologiques et sociaux deviennent lourds. À la fin, la drogue sert surtout à éviter l’inconfort ou la souffrance causée par le manque de drogue.
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Les TYPES de DROGUES
D'après l'effet qu'elles provoquent,
on classe les drogues en différentes catégories :
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Les STIMULANTS
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APRÈS LA CONSOMMATION :
épuisement physique et déprime psychologique
AMPHÉTAMINES Risque de dépendance élevé. Sous forme de poudre, cristaux, comprimés, capsules. COCAÏNE Risque de dépendance élevé et difficile à surmonter Poudre à renifler ou par injection. Produit de laboratoire obtenu à partir de la feuille de coca. Effets semblables à ceux des amphétamines, mais de moins longue durée. RITALIN ® Le ritalin® est un stimulant du système nerveux utilisé médicalement pour traiter le trouble déficitaire d'attention, en particulier chez les enfants et les adolescents. Les doses sont ajustées pour obtenir l'effet voulu, sans les effets plus intenses recherchés habituellement par les consommateurs de stimulants. Mais certains symptômes typiques peuvent peuvent apparaître occasionnellement, tels qu'une diminution de l'appétit (au début), de l'insomnie légère et de l'irritabilité. CAFÉINE Stimulant léger qui se retrouve dans des plantes comme le café, le thé, le maté, le guarana, le cacao. Largement utilisé dans les boissons gazeuses (Coke, Pepsi, etc.) et dans les boissons énergisantes (Red Bull, etc.). Certaines de ces boissons énergisantes peuvent avoir l'équivalent de six tasses de café ! Même si le risque de dépendance est faible, un usage abusif entraîne des effets indésirables typiques des stimulants (agitation, insomnie, palpitations,..). Rien pour aider les gens qui étudient ou qui travaillent |
METHAMPHÉTAMINE Risque de dépendance élevé. Sous forme de cristaux, comprimés, capsules, poudre. L'effet global peut être jusuqu'à deux fois plus puissant que les amphétamines, et dix fois plus que la cocaïne. CRACK Le crack est de la cocaïne sous forme de substance solide ou de petits 'cailoux', qu'on chauffe pour en respirer la fumée. Effet plus intense et plus bref que la cocaïne, semblable à celui de la methamphétamine, avec une descente● plus pénible qu'avec la cocaïne. NICOTINE Risque de dépendance élevé et difficile à surmonter La substance active du tabac naturel est la nicotine. Fumé, surtout sous forme de cigarette (Plus rarement : chiqué mastiqué. Ce sont surtout des pratiques locales, en Afrique du Nord, par ex.) Stimulant léger, mais pouvant avoir un effet relaxant (dépresseur) à faible dose. Les effets à court terme sont minimes en comparaison des autres stimulants. Ils peuvent même paraître inexistants. Mais les ravages à long terme sont significatifs, et insidieux car très progressifs. L'usage prolongé du tabac est la source de multiples cancers, de maladies respiratoires, cardiaques et vasculaires (circulation du sang) chroniques. À noter : La nicotine étant un composant majeur du tabac, elle contribue grandement à ses effets nuisibles. Mais la nicotine à elle seule ne semble pas provoquer de dépendance. Le tabac commercial contient aussi beaucoup d'autres substances toxiques (goudron, ammoniac, monoxyde de carbone, mercure, cadmium, plomb, benzène, etc.), dont certaines font pénétrer plus rapidement la nicotine dans le cerveau. C'est ce mélange qui est addictif. De toutes les drogues, le tabac est le tueur no 1. Au Canada et au Québec, le tabac cause 30% de tous les cancers et tue 40 000 personnes par année. Selon l'Organisation mondiale de la santé, en 2008 le nombre de décès causés par le tabagisme dans le monde était de 5,4 millions de personnes. |
Les DÉPRESSEURS
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En début de consommation 
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Le GHB Effets semblables à l'ébriété de l'alcool, mais plus rapide et moins prolongée. À dose plus forte, hallucinations, risques de convulsions, de problèmes respiratoires et cardiaques, en particulier lorsqu'on le mêle à l'alcool et autres substances. Risque de dépendance physique. Avec le GHB, il suffit de dépasser légèrement la dose qu'on est capable d'absorber pour éprouver des effets extrêmes et dangereux. Il n'est pas facile de trouver la dose exacte qu'on peut tolérer. |
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LES SUBSTANCES VOLATILES colle, glue, essence, vernis, peinture, cire à plancher, aérosols, produits nettoyants et tout autre produit domestique laissant échapper des gaz toxiques qu'on peut inhaler. Effet semblable à l'ébriété. Ces substances toxiques peuvent causer des dommages considérables au cerveau, au foie et aux reins. |
Les produits de L'OPIUM L'opium est une préparation tirée de la sève d'une plante appelée pavot somnifère, dont le principal ingrédient actif est la morphine. |
LES
BENZODIAZÉPINES Effets psychologiques (selon le médicament) :
Effets physiques :
Effets dans le temps : Les
benzodiazépines ont une action soit
de courte durée soit à plus longue durée. Les benzodiazépines dont l'effet est
DE LONGUE DURÉE peuvent causer
au plan physique :
Le Valium® est le plus connu, mais aussi le Serax®, le Lysantium®, le Dalmane®, etc. |
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L'HÉROÏNE Au plan psychologique : Au plan physique : Risque de dépendance très élevé Symptômes
de manque : À cause du risque de dépendance qu'elle présente, l'héroïne n'a plus aucun usage médical (à part le traitement de la diarrhée). C'est surtout sur le marché des drogues qu'on en trouve. |
Les OPIACÉS et les OPIOÏDES Ceux qui sont fabriqués à partir de l'opium s'appellent des opiacés : morphine, la codéine, la thébaïne. Ceux qu'on produit par synthèse sont des opioïdes. On les appelle ainsi à cause de leurs effets semblables aux opiacés : la méthadone, le Dilaudid® (hydromorphone), etc. En médecine, les opiacés et les opioïdes sont utilisés pour soulager la douleur et comme anesthésiants lors des opérations chirurgicales. Certains sont familiers au grand public, tel la codéine, contre la toux. (Les comprimés Tylénol® contiennent aussi de la codéine). Pour aider les héroïnomanes à se sevrer, on utilise la méthadone, parce qu'elle ne provoque pas d'euphorie. Au plan physique, ces médicaments peuvent provoquer
Les effets à plus long terme sont ceux des dépresseurs en général. |
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Ces médicaments sont très puissants et très
addictifs. |
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Les PERTURBATEURS
Caractéristiques générales :
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En début de consommation 
Le CANNABIS |
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Effets physiques :
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Effets psychologiques :
À dose plus forte :
Une consommation importante peut entraîner une dépendance psychologique. |
Gradation des effets, selon la dose absorbée 1. Euphorie :ébriété légère, détente,
hypersensibilité des sens, perception altérée de l'espace et du temps rire ou sensualité accrue 3. Hallucinations 4. Sédation Mais selon l'état d'esprit du consommateur, au lieu de l'euphorie on peut éprouver un sentiment dépressif ou même de l'angoisse. À dose plus forte, la confusion peut devenir du délire. Les effets du cannabis peuvent donc être très variables. Une consommation importante et régulière affecte les capacités d'apprentissage, de mémorisation et d'attention, et peut entraîner de l'apathie (manque d'initiative). Ces inconvénients disparaissent en cessant de consommer. La fumée des joints étant respirée plus profondément que la cigarette, un joint équivaut l'absorption de quatre cigarettes. Cela est dû surtout à la présence fréquente du tabac et ses nombreux produits toxiques dans les joints de cannabis. Plusieurs accidents routiers sont causés par des conducteurs sous l'effet de drogues, y compris le cannabis. Les joints de cannabis contiennent souvent d'autres drogues (par ex., le PCP) qui amplifient ses effets.
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Le PCP
Risque de dépendance Le PCP est un puissant anesthésiant que la médecine n'utilise plus à cause de ses effets trop perturbateurs et ses effets psychotiques, même chez les animaux ! C'est une drogue très souvent mélangée à d'autres drogues. Selon les autorités de la Santé du Québec, toute drogue se présentant sous forme de capsules, comprimés ou poudre pourrait avoir été mélangée à du PCP. Elle est souvent vendue sous d'autres noms, comme le mess (pour 'mescaline'). C'est une drogue dangereuse car elle peut causer des effets physiques et mentaux irréversibles, comme par exemple, perturber le contrôle normal sur l'envie d'uriner et de déféquer. |
LSD
Les effets durent de cinq à douze heures. Après la consommation, possibilité de « flash back » : le consommateur revit spontanément des épisodes d'hallucination plusieurs jours ou semaines plus tard et même, plusieurs mois (des molécules de LSD sont encore présentes dans le cerveau). Pas de risque de dépendance, mais le LSD a des effets à court et à long terme parfois imprévisibles. Les consommateurs arrêtent d'en prendre lorsqu'ils ont en subissent les effets désagréables (le 'bad trip'). |
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La KÉTAMINE Les effets de la kétamine sont comparables à ceux du PCP, mais plus courts et moins intenses. Plus spécifiquement :
Certains consommateurs de kétamine recherchent des expériences de dissociation du corps et de l'esprit et de mort imminente (voyage aux frontières de la mort). |
Les CHAMPIGNONS MAGIQUES Hallucinogène avec des effets semblables à ceux du LSD, mais dix fois moins puissants. Les effets durent de quatre à six heures
Pas de dépendance. Possibilité de flash-back. |
Certains perturbateurs ont aussi des effets stimulants. L'ECSTASY (MDMA : méthylène-dioxy-méthylamphétamine) Adam, MDM, MDMA, drogue de l'amour, speed, party pill, etc. Comprimés de différentes couleurs Drogue de synthèse L'ecstasy provoque au début un sentiment d'euphorie et de bien-être. |
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Comme perturbateur |
Comme stimulant, l'ecstasy peut avoir des effets semblables aux amphétamines, mais moins intenses. |
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Effets physiques :
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Effets psychologiques :
À plus forte dose :
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Effets physiques :
À PLUS FORTE DOSE :
APRÈS LA CONSOMMATION :
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Effets psychologiques :
PARFOIS :
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Les effets de l'ecstasy sont imprévisibles Risque de dépendance |
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Le 2-CB Effets semblables à l'ecstasy, avec en particulier |
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Effets physiques :
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Effets psychologiques :
PARFOIS
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N'entraîne pas |
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Les ANTIDÉPRESSEURS
Les antidépresseurs sont des médicaments pour combattre
- les effets de la dépression
- les troubles sunipolaire
(variation anormale entre un état de grand enthousiasme et une humeur déprimée) - les problèmes graves d'anxiété
- les obsessions compulsives
(type d'anxiété caractérisé par la répétition maladive d'une certaine action pour conjurer un danger, par ex. vérifier à plusieurs reprises si la porte est bien verrouillée.) - la boulimie
(trouble alimentaire qui pousse à manger de manière pathologique)
Ils servent aussi à soulager les douleurs chroniques.
Les antidépresseurs Améliorent l'humeur chez les gens souffrant de dépression, stimulent l'activité cérébrale et motrice. Peuvent causer :
Les antidépresseurs Leur effet dépend du patient. Chez certaines personnes, ils agissent comme un stimulant, chez d'autres, comme un sédatif. Les antidépresseurs Favorisent le sommeil
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Contrairement à la plupart des drogues, les antidépresseurs n'entraînent pas de dépendance. Mais leurs effets secondaires peuvent être importants :
Certaines personnes ayant déjà des idées suicidaires peuvent passer à l'acte sous l'effet d'un antidépresseur. |
Les MÉLANGES
de substances
Chaque drogue a ses propres effets. Mais lorsqu'on les mélange, les conséquences sur la chimie du cerveau et sur les organes du corps sont toujours imprévisibles et peuvent causer de mauvaises surprises.
Imprévisibles :
- parce qu'on ne ne connaît tout simplement pas les effets précis de toutes les combinaisons possibles
- parce qu'il n'y a pas deux personnes qui réagissent exactement de la même manière ;
- parce que les mélanges de drogues peuvent renforcer les effets d'une drogue à un degré qui dépasse la capacité de l'organisme à maintenir un bon fonctionnement - autrement dit, la l'agression est plus forte que la capacité de défense. Cela, on ne le sait pas d'avance.
Même lorsqu'on a déjà fait ce genre d'expérience sans dommage apparent, le risque est toujours là.
Les conséquences :
- Elles peuvent se manifester progressivement, par une détérioration de certaines capacités physiques ou mentales.
- Ou bien c'est le déclenchement d'une crise.
Les consommateurs qui se retrouvent à l'urgence en état d'intoxication aigüe ou de psychose● sont souvent des gens qui ont absorbé un cocktail de substances. (C'est ce qu'on appelle la polyconsommation.)
L'alcool consommé avec d'autres dogues augmente les risques d'effets imprévisibles et indésirables. |
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Mais avec ou sans alcool, les mélanges de drogues sont toujours risqués. De plus, les drogues de rue sont elles-mêmes très généralement des mélanges : elles peuvent contenir n'importe quoi. Les consommateurs ne sont donc jamais sûrs de ce qu'ils prennent, et les vendeurs de ce qu'ils vendent (malgré leurs prétentions). |